Capacité de production

Différentes analyses montrent que le marché camerounais consomme plus de 70 000 tonnes de bitumes par an et présente au regard des grands projets à venir rentrant dans les objectifs de la Vision 2035, un important potentiel de croissance. Diverses projections estiment que la consommation de bitumes routier au Cameroun atteindra les 100 000 tonnes par an d’ici 2030. Cette demande pressante pour le marché camerounais comme dans les autres pays de la sous-région sont tirées par les projets liés à l’atteinte des objectifs d’émergence d’ici 2035 et les grands projets de développement des infrastructures en Afrique dans le cadre du PIDA (Programme for Infrastructure Development in Africa), successeur du NEPAD et piloté par la Banque Mondiale avec le support de Banque Africaine de Développement.

Cette importante demande contraste avec le vide criard de fabricants qui existe au Cameroun, et dans les autres pays de la sous-région Afrique centrale (300 000 tonnes). En effet le bitume consommé dans ces pays est importé d’Asie en majeure partie et le reste de la Côte d’Ivoire, de l’Afrique du Sud et de l’Espagne principalement.

Notre projet vient combler un vide et de ce fait, n’aura pas de la peine à écouler ses produits, pourvu que ces derniers respectent les normes de qualité internationales et se vendent à des prix compétitifs. L’activité étant très réglementée, d’importantes mesures doivent être prises afin de se conformer non seulement comme entreprise, mais aussi de pouvoir mettre sur le marché des produits conformes aux normes internationales.

Notre projet est monté selon les règles de l’art du domaine. Ceci nous a permis d’identifier les principaux risques et développer un plan de gestion des risques qui contient des mesures de prévention et d’autres mesures à prendre, pour minimiser l’impact des incidents qui ne sauraient être évités.

La préservation de l’environnement reste un élément important pour notre projet. Une politique appropriée de gestion de l’environnement sera mise sur pied pour protéger l’air, le sol et les eaux. Les rejets seront minimisés jusqu’au seuil acceptable. Une unité sera construite au sein de l’usine pour traiter les eaux usées avant leur décharge. Les déchets solides seront récupérés, réutilisés autant que possible et traités convenablement avant leur décharge, le cas échéant. Les distillats gazeux seront réutilisés pour la production de l’énergie de l’usine afin de minimiser au maximum leur torchage. Les effluents gazeux seront traités selon la règlementation en vigueur et les bonnes pratiques internationales avant leur décharge dans l’environnement.

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